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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 08:56
 
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Selon Tribune de Lyon, Anthony Pallier ancien cadre d'ACCOR, aurait été débarqué de la Société hôtelière Côte-Rôtie qu’il avait créée en 2010. 
Un empire hôtelier de 16 hôtels (dont le Holiday Inn à Vaise, l’Ibis Budget de Saint-Fons et celui de Villefranche-sur-Saône) qui emploie 280 salariés et qui aurait réalisé cette année 32 millions d’euros.
Selon Tribune de Lyon, il aurait été révoqué lors d'un conseil d'administration qui s'est tenu le 7 décembre par l’actionnaire principal (88 % du capital), l'investisseur parisien Sofival. 

Le nouveau directeur général est Manuel Soumet, associé de Valcapital, société d’investissement née à l’initiative de Sofival.


Diplômé de l’ESIEE, titulaire d’un Master spécialisé en ingénierie financière de l’EM Lyon il a notamment travaillé quatre ans pour Carvest, filiale du Crédit Agricole, spécialisée dans les opérations de capital investissement pour les PME régionales.

 

Source : Tribune de Lyon

 

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SYNDICAT HÔTELLERIE RESTAURATION DU RHÔNE

              

LIBRES ET INDEPENDANTS

222 ©EricBernard - Copie
ILS SONT SYNDIQUES  A  FORCE OUVRIERE

BULLETIN D'ADHESION

BULLETIN D'ADHESION :

http://sd-2.archive-host.com/membres/up/184742637351834643/Bulletin_adhesion_HCR_.doc

A télécharger et renvoyer à :
Syndicat FO des HCR du Rhône
214 avenue Félix Faure
69003  LYON

JURIDIQUE

TAUX HORAIRE MINIMUM CONVENTIONNEL 

11.72 €  

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       A dater du 01/05/2023
 
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      A dater du 01/05/202       

LE SITE DÉDIÉ AUX SALARIES DES HCR :

HOMMAGE A LEON JOUHAUX

  1879-1954 
 

  « Pour remplir sa mission, le syndicalisme doit conserver son entière personnalité.
Il
ne peut ni ne doit s’inféoder à aucun parti politique. »

 

Né en 1879, Léon Jouhaux est un jeune ouvrier anarchiste, travaillant à la manufacture d'allumettes d'Aubervilliers. À trente ans, le 12 juillet 1909, il est élu secrétaire général de la CGT. Il participe aux efforts des syndicats pour prévenir les deux guerres mondiales. Au début de la seconde, il s'installe à Marseille où il prend contact avec les syndicalistes de la zone occupée. Arrêté par la police de Vichy, il est livré aux Nazis en novembre 1942. Son statut politique lui permet d'échapper aux camps d'extermination ou aux stalags des prisonniers de guerre. Il est libéré par les Américains après deux ans et demi de captivité. Dans l'euphorie de la victoire et de la paix, l'heure est à l'unité et Léon Jouhaux représente pour de très nombreux travailleurs le père, le fédérateur, le rassembleur. Il reprend donc la tête de la CGT. Mais devant l'influence grandissante du PCF au sein de la Confédération syndicale, il démissionne en 1948 pour fonder la CGT-FO. La suite de sa carrière dépasse alors le cadre national. Il devient vice-président de la Fédération Syndicale Mondiale et délégué à l'ONU. Son engagement est couronné en 1951 par le Prix Nobel de la paix.